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La reconquête des deux fleuves, au cœur du site historique de Lyon inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, se poursuit autour de deux projets majeurs. Côté Rhône, Rive droite va transformer les quais – actuellement une autoroute urbaine de 2,5 km – en un grand jardin nature de plus de 3 ha avec 1100 arbres plantés et une promenade suspendue sur l’eau, avec une avenue urbaine végétalisée côté façades. Les Terrasses de la Presqu’ile sur 2 ha de la rive gauche de la Saône visent également à retrouver le lien avec la rivière, mettre en valeur le patrimoine et le paysage, qui s’inscrit en continuité du projet Rives de Saône engagé depuis 2012. De nouveaux usages se déploient sur l’eau, avec la navette fluviale, nouveau transport en commun. Visite en bateau.

 

Avec Pierre Athanaze, Vice-président de la Métropole de Lyon en charge de l’environnement ; Clément Bellot, chef de projet Rive droite et Isabelle Soares, cheffe de projet Terrasse Presqu’île à la Direction de la maîtrise d’ouvrage urbaine – Métropole de Lyon ; Olivier Pillonel, chargé de mission villes et fleuves et POPSU, direction de la planification et des stratégies territoriales – Métropole de Lyon ; Céline Faurie-Gautier, cheffe de projet direction de la maîtrise d’ouvrage des projets de développement – Sytral Mobilités ; Bertrand Vignal, architecte-paysagiste du projet Rive droite – agence BASE

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50 ans après la piétonisation de la rue de la République et 30 ans après les derniers grands programmes d’espaces publics, une nouvelle étape de transformation de la Presqu’île de Lyon s’est engagée, sur les mobilités et les espaces publics. Presqu’île à vivre, c’est une zone à trafic limité, un nouveau plan de bus, des rues des enfants, un doublement des espaces piétons, une sécurité et une accessibilité renforcée pour l’accès aux commerces et équipements, c’est aussi la mise en valeur d’un patrimoine exceptionnel et la végétalisation de 33 000 m² pour rafraîchir la ville. Le projet Rive Droite de réaménagement des quais du Rhône, c’est un nouveau jardin nature de plus de 3 ha pour reconnecter la ville au fleuve.

 

Avec Béatrice Vessiller, Vice-présidente de la Métropole de Lyon à l’urbanisme et au cadre de vie ; Yasmine Bouagga, Maire du 1er arrondissement de la Ville de Lyon ; Jean-Christian Morin, adjoint à la ville apaisée du 1er arrondissement de la Ville de Lyon ; Delphine Thevenot-Petit, directrice de projet Presqu’île à vivre à la Direction de la maîtrise d’ouvrage urbaine – Métropole de Lyon ; Pauline Guerdad, coordinatrice du projet pour la Ville de Lyon ; Bertrand Vignal, architecte-paysagiste du projet Rive droite – agence BASE

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Les Voies Lyonnaises sont un grand réseau métropolitain d’infrastructure cyclable pour développer et sécuriser l’usage du vélo, et un projet de rééquilibrage de l’espace public en faveur des modes actifs. Plus de place pour les piétons et les cyclistes, pour encourager l’évolution des mobilités et fluidifier les déplacements de tous, quel que soit le mode ! Ce nouveau réseau de 13 lignes de pistes cyclables métropolitaines desservira 48 communes de la Métropole de Lyon. 100 km sont déjà livrés ou en cours de chantier. Les pistes cyclables, de 4 mètres de large et avec des principes de séparation et de continuité, contribuent également à la végétalisation, la désimperméabilisation et à la décarbonation de l’aménagement par le choix des revêtements et les nouveaux usages. Balade en vélo à assistance électrique, tenue adaptée à prévoir. 

 

Avec Fabien Bagnon, Vice-Président de la Métropole de Lyon à la voirie et aux mobilités actives ; Guillaume Julien-Neveu, directeur de projet des Voies Lyonnaises et son équipe à la Direction de la maîtrise d’ouvrage urbaine – Métropole de Lyon ; Arthur Bajulaz, chef de projet à la direction des mobilités – Métropole de Lyon ; Clément IUNG, chef de projet AMO – Setec organisation ; Anne-Christine Chevalier, ingénieure architecte, co-gérante de Passagers des villes

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La logistique et le transport des marchandises sont devenus des préoccupations majeures pour les grandes villes et métropoles, notamment au vu de l’enjeu de décarbonation des livraisons du dernier km et des besoins propres aux artisans, commerçants et chantiers du BTP. L’Hôtel logistique urbain (HLU) représente 29 000 m² d’entrepôts à étage, partagés entre plusieurs preneurs. Inauguré en 2024 au sein du Port de Lyon Édouard Herriot et en bordure du périmètre de la zone à faibles émissions (ZFE), l’équipement est conçu en faveur d’une décarbonation des véhicules sortants. Ce projet porté par LPA, la Banque des territoires, la Poste Immobilier et SERL Immo, est le fruit d’un appel à projets lancé par la Compagnie Nationale du Rhône et la Métropole de Lyon en 2018.   Avec Jean-Charles Kohlhaas, Vice-Président de la Métropole de Lyon aux déplacements, à l’intermodalité et à la logistique urbaine ; Pierre Meffre, Directeur exécutif des territoires, Compagnie nationale du Rhône ; Elsa Roussellet, directrice des services mobilités SEM LPA – SPL Mobilités ; Benjamin Loisel, responsable du pôle énergie, SERL énergie ; Olivier DUPONT, Directeur Développement territorial EDF Lyon Réduire

L’ancien Technicentre SNCF de La Mulatière à Oullins (20 ha), héritage remarquable de l’histoire du chemin de fer français depuis 1846, est un gigantesque site d’urbanisme transitoire « les Grandes Locos ». Il accueille depuis 2024 de grands événements culturels métropolitains : les Nuits Sonores, le Lyon Street Food Festival, la Biennale d’art contemporain, et prochainement, la Biennale de la danse. La mise en exploitation de ce site industriel XXL est aussi un accélérateur du futur projet urbain piloté par la Métropole de Lyon, en partenariat avec la SNCF.

 

Avec Cédric Van Styvendael vice-président en charge de la culture de la Métropole de Lyon ; Antoine de Rocquigny Président d’Espaces ferroviaires et Fadia Karam directrice générale d’Espaces ferroviaires ; Rachel Mignard, cheffe de projets Technicentre à la Direction de la maîtrise d’ouvrage urbaine et Céline Migliore, responsable de service diffusion et filières culturelles – Métropole de Lyon ; Henri Bava, co-fondateur de l’agence TER ; Antoine Vucher, conducteur d’opérations à la direction du patrimoine, de l’énergie et des bâtiments – Métropole de Lyon ; Philippe Beaujon, architecte associé et Julien Genevois, architecte – VURPAS architectes

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L’Étape 22D à Villeurbanne est un site emblématique de 5 hectares de la politique d’urbanisme transitoire de la Métropole de Lyon, sur un territoire en pleine mutation urbaine, le Carré de Soie. Il regroupe une pluralité d’activités et de projets innovants autour des solidarités, de l’hébergement d’urgence et de filières clés de la transition écologique et sociale, comme l’industrie du vélo et l’économie circulaire. Le site accueille aujourd’hui 100 structures, plus de 300 salariés et héberge plus de 100 personnes.

 

Avec Emeline Baume, 1ère Vice-Présidente de la Métropole de Lyon déléguée à l’Économie, l’Emploi, au Commerce, Numérique et à l’Achat public ; Emmanuelle Sibue-Allart, directrice de la mission Carré de Soie à la Direction de la politique de la ville et des territoires de projet – Métropole de Lyon ; Mathias Rouet, directeur des études et membre du directoire – Plateau Urbain ; Anne-Gaëlle Clot, directrice de Grand Plateau ; Lucie Berthelot, cheffe de service – Pôle hébergement, Habitat et humanisme Rhône

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Au cœur de la Métropole de Lyon pour le renouveau de l’industrie en ville et ouverte sur son environnement, USIN propose aux entreprises un lieu de production et d’innovation unique. Labellisé « site industriel clé en main » par l’État et membre de la communauté French Fab, ce site de 10,5 ha complète l’offre de plateformes et de zones industrielles du territoire en proposant une solution immobilière locative adaptée et clé en main. Conçu et opéré par le groupe SERL via sa filiale SERL Immo, la Banque des Territoires et la Caisse d’Épargne Rhône Alpes, USIN se situe à l’avant-garde d’un mouvement de réindustrialisation du territoire. Cette visite permettra de comprendre les aspects innovants d’USIN, son approche foncière et politique d’implantation, son projet immobilier en lien avec son écosystème, ainsi que le rôle du Groupe SERL en tant qu’aménageur et co-investisseur de ce projet.

 

Avec David Bellanger, Président d’USIN Lyon Parilly, Directeur de l’Immobilier et de l’Investissement Groupe SERL ; Franck Simon, chef de projet industrie service Transformation Durable des Entreprises à la Direction de l’Action et de la Transition Économique – Métropole de Lyon et avec le témoignage d’entreprises d’USIN

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Le projet urbain de Parilly à Bron a fait de l’intervention sur le « déjà-là » une ligne forte, avec un engagement inédit de l’ANRU aux côtés de la Métropole de Lyon et de Lyon Métropole Habitat dans le financement d’une réhabilitation « transformante », par la restructuration d’une Unité de Construction (UC) en logement étudiants et privés avec l’appui de la Foncière Logement. Il intègre également une ZAC avec l’aménagement d’espaces publics et résidentiels. Objectif : réhabiliter l’utopie initiale d’un quartier jouxtant le grand parc métropolitain de Parilly, en requalifiant les espaces publics végétalisés et en apaisant les axes de circulation. Le site accueille une plateforme de fertilisation des terres en occupation temporaire, et verra également le développement d’un pôle numérique responsable avec un data center et un pôle de reconditionnement.

 

Avec Blandine Colin, présidente de Lyon Métropole Habitat ; Olivier Pipard, directeur de projet Parilly à la Direction de la politique de la ville et des territoires de projet et Pierre Malandrin chef de projet à Direction de la Maîtrise d’ouvrage urbaine de la Métropole de Lyon ; Julien Groulez, responsable territorial – ANRU ; Maxime Vicens associé cogérant – EXP architectes ; et avec la participation de Foncière logement 

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Après plus de 20 ans de renouvellement urbain, la Duchère – qui a été le premier écoquartier de la Métropole de Lyon – s’est transformée profondément pour devenir un quartier diversifié et équilibré. Sa démarche d’urbanisme exemplaire se poursuit aujourd’hui avec le nouveau projet de renouvellement urbain de la Sauvegarde et du Château et le projet de « halle agriculturelle, cité fertile et solidaire », lauréat de l’appel à projets « quartiers fertiles » de l’ANRU, avec la préfiguration de la future centralité par la halle agriculturelle. L’ambition : aller encore plus loin dans la prise en compte des enjeux liés à la transition écologique et alimentaire, au vivre-ensemble en concertation continue avec les habitants.

 

Avec Jérémy Camus, Vice-président de la Métropole de Lyon délégué à l’agriculture, à l’alimentation et à la résilience du territoire ; Christophe Saphy directeur de la mission Duchère à la Direction de la politique de la ville et des territoires de projet – Métropole de Lyon ; William Griesi responsable d’affaire et Anna Sarner – SERL ; Agathe Le Bourhis, chargée de projet habitat et renouvellement urbain et Chloé Lamy-Joly, responsable de communication et de concertation, mission Duchère ; Dominique Gautier, président directeur général, Gautier + Conquet architectes et paysagistes ; Céline Dumoulin, responsable d’opérations à la Direction du Patrimoine et du Cadre de Vie – Grand Lyon Habitat ; Yves Lafond-Puyo, Conseil citoyen

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Le Mas du Taureau à Vaulx-en-Velin est sur la voie d’une transformation majeure avec l’arrivée de la nouvelle ligne de tramway en 2026. Le projet va permettre la construction de 1300 logements majoritairement libres, permettant de diversifier l’offre d’habitat de ce quartier majoritairement social, couplée à une qualité environnementale et d’habiter. La qualité de vie est au cœur du projet avec un grand parc central de 2 hectares. La ZAC intègre aussi des activités créatrices d’emploi, des commerces, des équipements publics et notamment la Médiathèque-maison de quartier Atelier Léonard de Vinci inaugurée en 2022. Le développement économique représente plus de 25% du programme, dont 15 000 m² dédiés à la formation autour de la filière bâtiment durable. Avec Stéphane Gomez, Conseille métropolitain, Premier Adjoint aux Finances, à la Politique de la Ville, au Renouvellement Urbain et aux Mobilités, Ville de Vaux-en-Velin; Nathalie Chanteclair directrice du GPV Vaulx-en-Velin à la Direction de la politique de la ville et des territoires de projet – Métropole de Lyon ; Arnaud Bourrel responsable du pôle renouvellement urbain à la SERL ; Anne Giroud et Efstathios Topalis associés fondateur de La Fabrique Urbaine ; Michel HÖSSLER associé fondateur de l’agence TER ; Sylvie Collier directrice régional Les Nouveaux Constructeurs ; Karine Frauciel directrice des programmes chez Noaho ; Etienne Fradin architecte gérant d’Exndo Réduire

La transformation des Minguettes, quartier emblématique de la politique de la ville, se poursuit. Le réaménagement en cours de l’esplanade Frida Kahlo s’inscrit dans une démarche d’urbanisme féministe et artistique, pour permettre sa végétalisation et renforcer les usages. La dernière ZAC Marché Monmousseau Balmes, reliant le plateau au centre-ville, préfigure actuellement un futur parc linéaire de 1,5 ha offrant un îlot de fraîcheur et permettant de tester les usages.

 

Avec Michèle Picard Vice-présidente de la Métropole de Lyon à la lutte contre les discriminations et à l’égalité femmes-hommes et Maire de Vénissieux ; Julien Le Glou directeur du GPV Vénissieux à la Direction de la politique de la ville et des territoires de projet, Etienne Duquesnoy et Cassandre Limier chefs de projet à la Direction de la maîtrise d’ouvrage urbaine – Métropole de Lyon ; Hugo Bruley paysagiste fondateur de HBLA, Sara de Gouy architecte designeuse et plasticienne, Savinien de Pizzol dirigeant Dumetier design

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Depuis 20 ans, l’aménagement du quartier de la Confluence accorde une attention toute particulière à la qualité de vie et au bien-être des habitants et des usagers. Cela s’illustre notamment par la conception des espaces publics et les actions de renaturation en ville mises en œuvre. Ce quartier est un laboratoire d’expérimentations pour de nombreuses solutions fondées sur la nature, notamment la production de terres fertiles in situ, la préservation de la ressource en eau ou encore l’adaptation des essences végétales au changement climatique. Dans ce quartier apaisé et végétalisé, l’enfant a toute sa place pour grandir et s’épanouir. L’aménagement est pensé pour une ville à hauteur d’enfants et ces derniers sont mis à contribution pour la conception d’espaces publics qui leurs sont dédiés, notamment une aire de jeu monumentale et une place jardin ludique devant le groupe scolaire Eugénie Brazier.

 

Avec Laurence Boffet, Vice-présidente en charge de la participation citoyenne ; Gautier Chapuis, adjoint au Maire de Lyon en charge de la végétalisation, de la biodiversité, de la condition animale et de l’alimentation ; Sylvie Josse, Directrice Aménagement et Développement à la SPL Lyon Confluence ; Jeanne Souvent, Directrice de projet chez BASE ; Florimond Gauvin, Directeur de BigBang

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La Confluence est un quartier exemplaire en matière d’adaptation à la transition écologique et porteur de mixité urbaine et sociale. Malgré le contexte économique, le projet poursuit sa dynamique de développement en corrélation avec la capacité du marché. Les ilots livrés et à venir – notamment le premier immeuble de belle hauteur en structure bois ou encore le premier immeuble bioclimatique sans chauffage ni climatisation et dédié exclusivement aux bénéficiaires du BRS – démontrent la capacité collective des acteurs de l’immobilier et de l’aménagement à trouver le bon équilibre entre coûts de construction et exigences environnementales, tant dans le logement que le tertiaire, afin de maintenir des prix de sortie qui restent accessibles sans sacrifier le niveau de qualité environnementale attendu à la Confluence.   Avec le Vice-Président Renaud Payre en charge de l’habitat, du logement et de la politique de la ville, Samuel Linzau Directeur général de la SPL Lyon Confluence, Jeanne-Lise Ramos Directrice Opérationnelle chez Nexity, Anne Speicher de Baumschlager Eberlé Architectes, Cédric Meunier, Directeur des programmes chez UTEI, Julien PEMEZEC Directeur général de WOODEUM, Jean Laurens-Berge d’Insolites Architecture, Cyrille Le Bihan d’Hardel le Bihan Architecte, Marie-Noelle Granjard, Directrice générale adjointe au Développement de REI Habitat. Réduire

Le projet Lyon Part-Dieu construit un nouveau modèle de développement métropolitain, alliant fonctions métropolitaines, économiques et de mobilité, et transition écologique de manière intimement liées. Il fait désormais de la régénération immobilière une priorité avec notamment 120 000 m2 de bureaux en cours de réhabilitation (Audessa, Via Terra Via Nova, 145 Lafayette…) et plus de 300 000 m2 à venir d’ici 2032. Le rééquilibrage bureaux-logements est également au cœur des enjeux de développement du quartier avec des opérations emblématiques (6ème Art et Audessa/Vertuo).   Avec Benjamin Badouard conseiller métropolitain de la Métropole de Lyon et administrateur de la SPL ; Florent Sainte Fare Garnot directeur général et Thierry Perraud directeur du développement et de l’innovation à la SPL Lyon Part-Dieu ; Laurent Doyat, Directeur régional tertiaire ICADE Promotion ; Isabelle Herault – architecte ; Igor Fedoriw et Grégory Ducret, Directeurs délégués Sogelym Dixence ; Jérôme Pouffier Adnet, Directeur général Adjoint DCB International ; Patrick Mitton Soho Architectes ; Vincent Ginguenaud, Directeur développement région, ICADE Foncière ; Clément Vergely Architectes  Réduire

Avec la livraison de plus de 7 hectares de nouveaux espaces publics paysagers d’ici fin 2025, au cœur du deuxième quartier d’affaires de France, la révolution paysagère de la Part-Dieu repose sur un dialogue inédit entre l’arbre et la tour, entre la majesté architecturale et la puissance économique et le retour au sol et au paysage. Ces espaces publics seront marqués par une présence plus forte de la nature, support de biodiversité et de fraîcheur, caractérisée par une palette végétale plus étoffée et un langage paysager conçu autour des notions de luxuriance et de générosité. Autour de la nouvelle gare de la Part-Dieu, le projet urbain renforce par ailleurs la place donnée aux modes actifs au cœur d’un pôle d’échange multimodal apaisé.   Avec Marion Sessiecq, Maire du 3e arrondissement de Lyon ; Florent Sainte Fare Garnot directeur général, Delphine Lacroix directrice du projet urbain et Juliette Pecoraro directrice adjointe du projet urbain de la SPL Lyon Part-Dieu ; François Decoster – l’AUC , Grand prix de l’urbanisme 2021 ; Marlène Bartoux – EGIS ; Luc Chignier – BASMETS ; Mariana Lopez – agence BASE ; Loic Bonnin – Ateliers Jacqueline Osty, Grand prix de l’urbanisme 2020 ; Marco Rossi paysagiste, Claire Trapenard – agence D’ici Là ; Nicolas Gineyts, chef de projet Garibaldi à la Direction de la maîtrise d’ouvrage de la Métropole de Lyon Réduire

Les projets Grand centre et à Villeurbanne est un projet urbain et d’espace public qui vise à prolonger le centre-ville patrimonial de Villeurbanne, par un urbanisme en harmonie avec l’œuvre architecturale de Môrice Leroux et l’utopie urbaine et sociale des Gratte-ciel historiques des années 1920-1930. Le projet urbain piloté par la SERL, avec 900 nouveaux logements, des équipements publics et 40 nouveaux commerces, déploie de nombreuses innovations : réemploi des matériaux, logistique urbaine et de chantier décarbonée, géothermie… La Société villeurbannaise d’urbanisme est l’opérateur unique des 15 000 m² de commerces. Le centre-ville va également être transformé par la nouvelle ligne de tramway, la voie lyonnaise n°4, ainsi que le projet de transformation des espaces publics existant, sur un périmètre élargi, porté par la Métropole et la Ville.

 

Avec Agnès Thouvenot 1ère adjointe au Maire de Villeurbanne ; Amandine Dukhan, directrice de projet à la SERL ; Luc Duprez chef de projet Grand centre à la Direction de la maîtrise d’ouvrage de la Métropole de Lyon ; Fabien Delorme, directeur régional de Quartus ; Nicolas Michelin, architecte en chef de la ZAC ; Atelier Jacqueline Osty et associés paysagiste, Grand prix de l’urbanisme 2020 ; Hugo Vallée responsable du développement économique à la Société villeurbannaise d’urbanisme

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L’ancien site industriel Renault ACI de 5,4 ha – marqueur de l’histoire industrielle villeurbannaise – est en pleine transformation, avec la construction d’un nouveau quartier et un nouveau parc, dont la réalisation est accélérée par le prolongement du tramway T6 en 2026. La reconquête de la friche ACI est emblématique d’un dialogue public-privé et permet une fabrique de la ville vertueuse, favorisant pour toutes les maîtrises d’ouvrage le réemploi, la renaturation et les parcours abordables des habitants et des entreprises. Le PUP est le fruit d’un travail partenarial entre la Métropole de Lyon, la Ville de Villeurbanne et le propriétaire foncier, Renault qui a lancé une consultation, remportée par BNP Paribas Immobilier et Ginkgo, autour d’un projet urbain équilibré et ambitieux, élaboré et mis en œuvre dans un temps record. Le projet va permettre la réalisation de 41 500 m² de sdp dont 680 logements et 8000 m² d’activités économiques et productives, et 3 ha d’espaces verts et publics dont un parc urbain de 2 ha réalisé par la Ville de Villeurbanne.

 

Avec Cécile Desfray Cheffe de projet PUP ACI à la direction de la maîtrise d’ouvrage de la Métropole de Lyon ; Lisa Michaudel, cheffe de projet aménagement à la direction des espaces publics et naturels à la Ville de Villeurbanne ; Axel Sabouret chef de projet Sytral Mobilités ; Guillaume Berthier, directeur général de BNP Paribas Immobilier ; Frédéric Bascherini, Directeur d’agence BNP Paribas Immobilier Rhône-Alpes ; Marie-Odile Khiat, Directrice Technique Environnement et Nicolas Menu, Directeur d’Investissement – GINKGO ; Savinien DE PIZZOL – Président agence Dumetier design ; Fannie Boisson, paysagiste et directrice de projet chez Big Bang paysagistes ; Thomas VALLET, chargé d’opérations et Gabriel SIBILLE, directeur de l’aménagement et de l’habitat durable, Est Métropole Habitat ; Jean-Manuel Perraudin, architecte associé, agence Architecture Perraudin, Grand Prix National de l’Architecture 2024 ; Simon Roué, chef de projet MOE tramwayT6N chez Egis ; Matthieu Lahner, architecte, Gautier + Conquet architecte

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La transformation de Gerland se poursuit par opérations successives, mêlant différents modes opératoires, pour en faire un quartier à vivre et renaturé. Dans la ZAC des Girondins réorientée en 2020 et pilotée par la SERL, les macrolots, pourvoyeurs de généreux jardins en cœur d’ilot et de nombreux logements en bail réel solidaire, intègrent de nouveaux modes constructifs, dont la pierre. La friche Nexans est en cours de mutation autour du nouveau campus de l’EM Lyon. Le PUP avec Bouygues immobilier permettra de créer une nouvelle centralité, en privilégiant une densité verticale au profit d’espaces publics généreux, dont un parc, représentant 60 % de l’emprise, et en faisant converger les objectifs métropolitains et l’équilibre économique de l’opérateur. Les collectivités ont ainsi pu garantir le maintien de l’activité productive et artisanale et une part importante de logements abordables. Les jardins de Pré Gaudry – médaille d’or des Victoires du paysage et lauréat des Green cities award – constituent une première opération de renaturation et de fertilisation des terres. 

 

Avec Raphaël Michaud, adjoint au Maire de Lyon à la ville abordable, bas carbone et désirable ; Laurent Marquet, directeur de la mission Gerland à la Ville de Lyon ; François Trichet, directeur de projet ZAC des Girondins à la SERL ; Gaspard Landel, chef de projet Nexans à la Direction de la maîtrise d’ouvrage urbaine de Métropole de Lyon ; Bérengère Bouvier, directrice régionale Auvergne Rhône-Alpes de Bouygues Immobilier ; Jean-Laurens Berge, associé gérant d’Insolites architecture ; Corinne Bayssié-Lamarque, directrice générale déléguée d’Edelis ; Gilles Perraudin, architecte associé, agence Architecture Perraudin, Grand Prix National de l’Architecture 2024 ; Estelle Goutaudier, cheffe de projet agence BASE

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Le quartier de la Saulaie est un territoire stratégique de 40 hectares à Oullins-Pierre-Bénite, aux portes de Lyon, hyperconnecté par le métro, mêlant aujourd’hui friches industrielles et habitat dégradé. Le projet développe le principe d’ilot mixte faubourien. Il intègre une forte proportion de logement abordable, un projet d’habitat participatif, des tiny house temporaires dédiées à de l’hébergement d’urgence et de nouveaux espaces publics et végétalisés. L’investissement dans une boucle d’eau tempérée, l’application d’une démarche d’économie circulaire par la refertilisation des terres et le réemploi, ainsi que la place de la nature et de l’eau participent d’une ambition environnementale affirmée. (Visite avec focus tiny house ou boucle tempérée au choix)

 

Avec la Vice-Présidente Lucie Vacher déléguée à l’enfance, la famille et la jeunesse ; Camille Fiorucci directrice de projet – SERL ; David Enon architecte urbaniste en chef de la ZAC – agence TVK ; Floriane Larnaud, mandataire du groupement de maitrise d’œuvre espaces publics – Ingerop ; Céline Durand, paysagiste du groupement MOE espaces publics – Ilex ; Didier Fangeat responsable réseaux de chaleur et de froid urbains à la Direction environnement, écologie, énergie et Julie Moncorgé, chargée de mission offre d’hébergement à la mission hospitalité de la direction de l’Habitat et du logement – Métropole de Lyon

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Le projet du Vallon (55 ha) est porté en régie par la Métropole de Lyon en partenariat avec les Hospices civils de Lyon, au sein d’un des plus grands sites hospitaliers métropolitains, desservi par le métro depuis 2023. Un nouveau quartier est aménagé, notamment avec la construction de 1300 logements à 60% abordables et 50 000 m² de tertiaire et d’activité. Véritable lisière entre territoires agro-naturels ruraux et monde urbain, le site du Vallon est un parfait cas d’étude pour l’adaptation aux enjeux climatiques et environnementaux et la mise en œuvre du ZAN. Ancré dans un site à la géographie remarquable entre plateau boisé et vallon fertile, le projet tire parti de la coexistence de ces milieux pour renforcer la diversité d’identité de quartiers. Par la méthode ERC, la démarche de conception questionne systématiquement son impact environnemental et sa pertinence.

 

Avec Marion Baudouin et Vincent Gévaudan, chefs de projet à la Métropole de Lyon ; Luc Fabres, directeur des affaires domaniales et Marion Coquériaux chargée d’aménagement aux Hospices civils de Lyon ; Geoffrey Dufour, chef de projet direction de la maîtrise d’ouvrage des projets de développement – Sytral mobilités ; Diane Gobillard, Architecte Urbaniste, directrice de projet et Antoine Viger-Kohler Architecte Urbaniste – Associé fondateur, agence TVK ; Esther Guillemard, architecte paysagiste chef de projet – BASE ; Centre régional de botanique appliquée

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Engagée depuis une dizaine d’années, la transformation de la première gare de correspondance d’Europe en un vaste pôle d’échanges multimodal (PEM) arrive à son terme. Objectifs :  accueillir les flux croissants d’usagers, améliorer les connexions entre les modes de transport, proposer de nouveaux services et commerces aux usagers tout en ouvrant la gare sur le quartier et en scénographiant ses hauteurs. La ré­alisation concomitante de l’ensemble des opérations en cœur de ville a nécessité une coordina­tion et un partenariat sans faille des trois principaux maîtres d’ouvrages concernés : SNCF Gares et connexions pour la gare, la SPL Lyon Part-Dieu pour le plan d’aménagement global, le pilotage d’ensemble, les espaces publics et les infrastructures et Vinci Immobilier pour le To Lyon et le parking place basse. Le nouveau PEM Part-Dieu se dévoile petit à petit au public : une nouvelle voie ferrée, une gare deux fois plus grande, des voies lyonnaises pour les cyclistes, de nouveaux espaces publics plus confortables et plus végétalisés, et sous la place Béraudier, une place basse, un nouveau parking et la plus grande vélo station de France. Avec Florent Sainte Fare Garnot, directeur général et Guillermo Garcia, pilote d’opérations / SPL Lyon Part-Dieu ; Frédéric Longchamp, Directeur du projet de transformation de la gare de Lyon Part-Dieu / SNCF Gares et connexions ; Guillaume Curnier, directeur général / LPA Mobilités ; Stéphane Reymond, Directeur adjoint de l’immobilier résidentiel et des régions / VINCI Immobilier. Réduire