Thématiques

La 11ème édition des Entretiens de l’Aménagement
se tiendra les 26 et 27 juin prochains à Lyon

Tous les 3 ans, les Entretiens de l’Aménagement regroupent près de 600 professionnels de la Fabrique Urbaine pour deux jours de débats et d’ateliers consacrés aux grands enjeux de l’aménagement.
Les thématiques abordées sont larges et montrent la diversité des défis à relever, qu’il s’agisse de trajectoire carbone, de nature dans la ville, de sobriété foncière, ou de ville digitale. Elles ouvrent à une refondation de l’aménagement et à de nouveaux champs d’exploration et d’action autour de la « réparation urbaine » ou dans les « territoires oubliés ».

Pour cette 11ème édition, le choix de Lyon valorise un projet urbain porté à une échelle élargie et dans une complémentarité entre des territoires d’un même bassin de vie.
Un territoire qui incarne bon nombre des problématiques du colloque, tant par ses opérations que par les outils qu’il a su déployer.

Adaptation

  • jeudi 26 juin

    Défis climatiques et projets urbains : quelle gouvernance de l’adaptation ?

    L’impératif « d’adaptation au changement climatique » est aujourd’hui unanimement reconnu par les acteurs de la fabrique de la ville. Les prévisions climatiques obligent à anticiper, en poursuivant également l’effort d’atténuation. Mais si la légitimité de l’adaptation est établie, sa traduction pour l’aménagement urbain demeure floue. En effet, les risques climatiques touchent inégalement les territoires, transcendent les échelles de planification et de projet, avec des temporalités et des intensités incertaines. Le modèle de l’aménagement opérationnel en est bousculé tant l’adaptation exige une réflexion renouvelée sur la gouvernance et les échelles. Quelle articulation avec la planification ? Quel modèle économique quand les risques dévalorisent l’existant ? Enfin, dans quel projet territorial, stratégique et démocratique, s’inscrire ?

    10h00 — 11h30

    Auditorium

    Plénière

  • vendredi 27 juin

    L’aménagement face aux enjeux d’adaptation : l’habitabilité en question ?

    L’habitabilité d’une partie du territoire national est remise en question, que cela soit par l’aggravation des canicules, l’émergence ou l’intensification de risques locaux comme l’élévation du niveau de la mer, les inondations, l’érosion ou encore la sécheresse. L’aménagement, par sa capacité à agir sur la conception urbaine, paysagère et architecturale, est en première ligne pour adapter les tissus urbains à ces phénomènes. Son action s’inscrit dans une stratégie articulant échelles, parties prenantes et temporalités. Dès lors, comment gouverner le savoir et l’expertise nécessaires à la compréhension des risques ? Quels choix politiques d’adaptation dans des contextes hors-marché ? Et face aux aléas, jusqu’où intervenir pour garantir confort et habitabilité ?

    11h00 — 13h00

    Atrium

    Plateau

Comité scientifique

  • vendredi 27 juin

    Ecologiser les modèles de l’aménagement

    Alors que le modèle économique de l’aménagement, s’appuyant sur les marchés fonciers et immobiliers, est bousculé par les pressions socio-écologiques, le programme de recherche sur l’écologisation des modèles économiques propose d’analyser les implications théoriques et opérationnelles d’une écologisation du fonctionnement des aménageurs. Comment repenser le modèle économique de l’aménageur dans une pensée du vivant et de l’environnement ? Peut-on rendre les bilans d’aménagement plus verts ? quelles métriques utiliser ?

    12h00 — 13h00

    Auditorium

    Plateau

  • vendredi 27 juin

    Fonctionnement des marchés fonciers et immobiliers

    Qui détient quoi, pour quelle valeur et avec quel niveau de concentration de propriété en France ? Si la très forte concentration de la propriété en France est le fait des ménages, qie les patrimoines des propriétaires et acteurs publics sont les plus valorisés ; et ceux des bailleurs les moins valorisés, que traduisent ses écarts sur les stratégies d’aménagement ? Par ailleurs, morcellement de la propriété privée, devient un sujet à l’heure du ZAN et à l’heure de faire la ville sur la ville. Dès lors quelle stratégie foncière et quels outils pour répondre aux défis écologiques et économiques de l’aménagement ?

    09h00 — 10h00

    Découverte

    Atelier

Conflictualités

  • jeudi 26 juin

    Saurez-vous sortir d’un conflit d’aménagement ?

    A partir de cas standards d’opération d’aménagement (NIMBY, densification, refus du logement, refus de démolition, protection d’espaces naturels, etc.) comment résoudre les conflits liés à ces projets ? Un atelier pour analyser les limites des modalités actuelles de l’aménagement et envisager de nouvelles solutions pour sortir d’un conflit.

    15h30 — 17h30

    Atrium

    Atelier participatif

  • vendredi 27 juin

    Et si le pire était le désintérêt général ?

    Le conflit dans une opération d’aménagement est toujours un moment de tension qui met à mal les élu·es ainsi que les techniciens embarqués dans ces vastes projets de transformation urbaine. Mais faut-il craindre ces moments ? Quel équilibre entre constance dans les valeurs d’un projet et nécessaire adaptation aux évolutions de la société ? Entre hier et aujourd’hui, les conflictualités ont-elles changé de nature et d’intensité ? Et si finalement, le pire pour un projet était qu’il ne suscite aucune réaction, aucun avis, aucun intérêt ?

    10h30 — 12h00

    Proton de la Chapelle

    Plateau

  • vendredi 27 juin

    Nouvelles compétences, nouveaux métiers pour l’aménagement

    Des défis environnementaux et des enjeux sociaux et démocratiques obligent à repenser les métiers de l’aménagement, que cela soit en se déplaçant en amont de l’opération avec des enjeux de participation habitante ou de construction de partenariats solides ou en aval avec la gestion des biens et des ressources. Le déplacement des métiers oblige ainsi à redéployer les formations aux métiers de l’aménagement mais également à mieux définir les compétences à mobiliser Une exploration des rôles pour l’aménageur dans les dix prochaines années.

    09h00 — 10h30

    Proton de la Chapelle

    Plateau

Décarbonation

  • vendredi 27 juin

    L’aménagement redéfini par la décarbonation de la mobilité

    Alors que l’impact carbone du transport, premier des postes d’émission de GES, continue d’augmenter, l’extension des bassins de vie, véritable pierre angulaire de l’urbanisme contemporain, est remis en question par la décarbonation. Si l’équation territoriale de la répartition de l’effort entre urbain, périurbain et rural doit encore être écrite, elle remet profondément en cause les modes de vie. L’équation technique et d’usage demeure à inventer, notamment dans la répartition des rôles entre réduction des besoins de mobilité et décarbonation des véhicules et de l’énergie.

    09h00 — 10h30

    Auditorium

    Plateau

  • vendredi 27 juin

    La régénération à la Part-Dieu, une réponse aux enjeux contemporains de l’urbanisme métropolitain

    La régénération favorise la baisse de l’empreinte environnementale du patrimoine bâti, tout en améliorant la qualité architecturale et d’usage des bâtiments. C’est une source d’opportunités économiques pour les opérateurs et un levier pour la mutation des espaces publics du quartier. Avec 40 immeubles concernés par les décrets tertiaires, représentant plus de 300 000 m² à réhabiliter, le territoire de la Part-Dieu s’est organisé pour créer un écosystème incubateur de la régénération urbaine. En s’appuyant sur une méthode de coproduction développée depuis 10 ans, la SPL Lyon Part-Dieu agrège et mobilise l’ensemble des acteurs de l’immobilier. Un atelier pour discuter et échanger de la méthode, des premiers retours d’expérience et de la réplicabilité du processus, et des prises de conscience avec les acteurs investis dans ce processus de transition écologique.

    12h00 — 13h00

    Découverte

    Atelier

  • vendredi 27 juin

    Dans un monde post-carbone et sobre en foncier, quel modèle économique ?

    Bilan de l’aménageur, bilan du promoteur, logique du propriétaire foncier, indicateur des investisseurs, sont autant d’outils et de modèles qui rendent difficile voire impossible l’émergence de nouveaux modèles de l’aménagement. Si les objectifs et les modes de faire évoluent, que des réalisations convaincantes et démonstratrices émergent, comment créer un modèle qui permettent de répondre aux enjeux d’un monde post-carbone et sobre en foncier ? Comment prendre en compte des données extra-comptables, tels les données environnementales et sociales ?

    10h30 — 12h00

    Auditorium

    Plateau

Habiter

  • jeudi 26 juin

    Habitat : quelles sorties de crise(s) ?

    Crises conjoncturelles, avec une offre trop chère, insuffisante ou mal ciblée face à une demande aux moyens trop contraints et aux exigences renouvelées, et crises structurelles, issues d’une demande sociétale qui évolue face à une offre par essence rigide ; ces deux types de crise ponctuent l’histoire de la production de l’habitat. Et le creuset d’une crise future s’annonce, celle des incidences du changement climatique sur l’habitabilité du parc et ainsi, de la recomposition des marchés. La convergence des crises et les trajectoires territoriales divergentes interpellent les acteurs de la chaîne de production. Quelles actions locales pour dépasser ces « crises » afin de mieux répondre aux besoins des territoires ? Des élus et des opérateurs en débattent.

    15h30 — 17h00

    Auditorium

    Plateau

  • jeudi 26 juin

    Le stock, quelle perspective de mobilisation ?

    Des centres anciens dépeuplés, des grands collectifs , notamment en copropriété, dédaignés, et des patrimoines tertiaires vacants : comment en faire une offre de logement attractive ? A Roubaix avec la transformation de logements vacants, à Montpellier avec la revalorisation de copropriétés dégradées, des initiatives volontaires illustrent de nouvelles logiques pour les métiers de l’aménagement et de l’habitat afin de recycler une offre hors marché. Par-delà ces patrimoines résidentiels, refaire la ville sur la ville oblige également à prêter attention à la transformation engagée des immeubles obsolètes de bureaux, des bâtiments publics, commerciaux ou d’activité afin d’ouvrir le spectre de la production du logement Ces initiatives (ré)intègrent des pans de ville au marché immobilier local. Mais au-delà même du bâti, quelle place pour les services aux habitantes et habitants ? Comment chercher à améliorer le fonctionnement urbain et social ?

    17h00 — 18h30

    Atrium

    Plateau

Réenchanter

  • jeudi 26 juin

    (Re) donner du sens à l’action de l’aménageur. Pourquoi ? Pour quoi ?

    Comment les grands changements sociétaux impactent les entreprises d’aménagement et les aménageurs, et le sens de leurs actions ? Comment aménager de façon progressive dans un contexte d’incertitude ? Pourquoi la transition écologique et la demande de renouveau démocratique est-elle favorable à un enracinement profond des changements de mode de conception en aménagement ? Venez à la rencontre d’intervenant.es qui viennent défier les aménageurs sur leurs perceptions de la société et l’impact de leurs métiers. Des échanges nourrissants autour des nouveaux desseins pour les métiers et structures de l’aménagement qui permettent de faire émerger des lieux sociaux et réenchantent les pratiques.

    15h30 — 16h30

    Découverte

    Atelier

  • jeudi 26 juin

    Raison d’être et après ? Retours d’expériences

    Face aux besoins de transformation, comment les aménageurs se renouvellent ? L’élaboration de la raison d’être, qui engage ses parties prenantes (collaborateur·rices, administrateur·rices, voire partenaires) a pour principal objectif de renforcer et d’aligner pratiques opérationnelles et stratégie ; Quel est le bon moment lancer ce type de réflexion ? Quels apports pour guider l’action en termes de politiques RSE, RH, et d’innovation ? Le modèle de l’entreprise à mission est-il adapté aux aménageurs ? Retours d’expériences avec des aménageurs ayant franchi le pas.

    16h30 — 17h30

    Découverte

    Atelier

  • jeudi 26 juin

    Atelier de codéveloppement : une méthode participative pour entreprises en mouvement

    Cet atelier propose un cadre structuré où le partage d’expériences et la réflexion collective ouvrent de nouvelles perspectives face à des défis stratégiques (RSE, raison d’être, coopération, enjeux politiques, etc.). Grâce à la méthodologie du codéveloppement et ses différentes étapes – écoute, questionnement, reformulation, exploration de pistes d’action – chaque participant·e contribue activement à l’élaboration de solutions adaptées. Dans cet atelier, une entreprise de la fabrique urbaine expose une problématique réelle à laquelle elle fait face pour aligner stratégie et pratiques opérationnelles. Elle dialogue avec les professionnel·les participant à l’atelier, qui l’aident à répondre à sa problématique, en s’appuyant sur leurs propres expériences, expertises et questionnements.

    17h30 — 18h30

    Découverte

    Atelier participatif

  • vendredi 27 juin

    Et si on laissait l’aménagement nous enchanter ?

    Ouvrir de nouveaux imaginaires communs, écrire des récits collectifs qui enchantent les métiers et fait la part belle aux habitants, aux nouvelles approches dans une communauté de projet. Une mise en scène singulière qui ouvre de nouvelles perspectives, ravive la passion du métier et ancre des valeurs communes au cœur des territoires.

    14h30 — 16h00

    Auditorium

    Plénière

  • vendredi 27 juin

    Nouvelles compétences, nouveaux métiers pour l’aménagement

    Des défis environnementaux et des enjeux sociaux et démocratiques obligent à repenser les métiers de l’aménagement, que cela soit en se déplaçant en amont de l’opération avec des enjeux de participation habitante ou de construction de partenariats solides ou en aval avec la gestion des biens et des ressources. Le déplacement des métiers oblige ainsi à redéployer les formations aux métiers de l’aménagement mais également à mieux définir les compétences à mobiliser Une exploration des rôles pour l’aménageur dans les dix prochaines années.

    09h00 — 10h30

    Proton de la Chapelle

    Plateau

Sobriété foncière

  • jeudi 26 juin

    Les élus face à la sobriété foncière : quels arbitrages et quelles attentes vis-à-vis des aménageurs ?

    Dans le contexte d’incertitude des politiques publiques nationales, de tensions sur les finances publiques locales et d’urgence à agir face aux différentes crises, la clarification des enjeux et la priorisation des choix deviennent centraux : comment s’expriment les besoins d’arbitrages entre des injonctions contradictoires ? Quel est le rôle attendu des aménageurs pour éclairer et accompagner les décisions ? Quels sont les leviers à disposition des élus pour aborder l’aménagement ? En partant du constat que le modèle économique de l’aménagement n’est plus soutenable dans un contexte de raréfaction du foncier, des élus partagent leurs visions sur l’aménagement de demain et le rôle de l’intervention publique pour répondre aux nouveaux défis.

    15h30 — 17h00

    Proton de la Chapelle

    Plateau

  • jeudi 26 juin

    L’aménageur à l’heure de la sobriété foncière : le temps des partenariats ?

    L’impératif de sobriété foncière questionne l’aménagement : la chaine séquencée, cloisonnée des métiers doit laisser place à une vision plus intégrée, pour répondre à de nouveaux enjeux et de nouvelles contraintes. Il est alors indispensable pour les aménageurs de nouer des partenariats ou coopérations nouvelles avec des acteurs situés en amont de la chaine (foncières, propriétaires d’espaces commerciaux, industriels, EPF, etc.) ou en aval (investisseurs privés, promoteurs, gestionnaires immobiliers, acteurs de l’urbanisme transitoire, etc.). Comment, quand la sobriété foncière appelle à de nouvelles pratiques de l’aménagement, réussir à développer de nouvelles relations ? Comment construire de nouveaux montages publics-privés ? Tour d’horizon de nouvelles formes de coopérations.

    17h30 — 18h30

    Atrium

    Atelier

  • vendredi 27 juin

    Dans un monde post-carbone et sobre en foncier, quel modèle économique ?

    Bilan de l’aménageur, bilan du promoteur, logique du propriétaire foncier, indicateur des investisseurs, sont autant d’outils et de modèles qui rendent difficile voire impossible l’émergence de nouveaux modèles de l’aménagement. Si les objectifs et les modes de faire évoluent, que des réalisations convaincantes et démonstratrices émergent, comment créer un modèle qui permettent de répondre aux enjeux d’un monde post-carbone et sobre en foncier ? Comment prendre en compte des données extra-comptables, tels les données environnementales et sociales ?

    10h30 — 12h00

    Auditorium

    Plateau

Urbanisme féministe

  • jeudi 26 juin

    « L’urbanisme féministe », vers un droit à la ville enfin pour toutes et tous.

    À l’heure où les droits des femmes reculent à travers le monde, revendiquer un « urbanisme féministe », c’est enrichir la fabrique urbaine avec des traductions concrètes telles l’habitat et l’espace public inclusifs, la sécurité et la mise en lumière, une mobilité adaptée, une planification partagée… Mais comment passer en France des bonnes intentions aux actes significatifs ? Le parti-pris, fondé sur des données précises et sur nombre d’expériences analysées, est de considérer que l’urbanisme féministe est de nature à mieux faire la ville pour tous et pour toutes, en partant des usages des femmes assurant le care, pour les faciliter, sans enfermer celles-ci dans leur rôle traditionnel. Cette approche, en lien avec les usages, l’écologie, la santé, la mobilité, la solidarité, l’éducation, la culture voire l’économie… appréhende toutes les dimensions, des politiques publiques au mobilier urbain, en mobilisant les acteurs de la ville.

    16h30 — 18h00

    Auditorium

    Plateau

  • vendredi 27 juin

    Comment l’aménageur intègre l’urbanisme féministe dans son action ?

    Après une présentation des modes d’intervention possibles des aménageurs, leurs leviers d’action et les initiatives engagées pour intégrer une approche genrée dans leurs pratiques, 3 ou 4 groupes travailleront en petit comité pour dégager concrètement des méthodes de travail permettant de réaliser un urbanisme féministe. Comment poser un diagnostic solide, mener des marches exploratoires ? Comment veiller à la mixité réelle au sein des équipes dans le choix des concepteurs et prestataires ? Quelles clauses spécifiques dans les CCTP peuvent être prévues ? Faut-il intégrer une expertise spécifique en appui des maîtres d’ouvrages pour dépasser le stade des bonnes intentions ? Comment expertiser l’efficacité des mesures et réaliser des évaluations ? Les travaux sont ensuite mis en commun pour une synthèse collective.

    09h00 — 11h00

    Atrium

    Atelier participatif

  • vendredi 27 juin

    Assurer la sécurité, pour un espace public offrant le plaisir de la ville pour toutes et tous, jour et nuit

    Si les femmes (et parfois les hommes) ne se sentent pas en sécurité dans l’espace public, comment la ville peut-elle être désirable ? La sécurité a souvent été le levier d’actions pour l’urbanisme féministe comme à San Sebastian (la carte de la ville interdite) ou à Umeå (Suède). Mais la sécurité sans tranquillité et sans liberté n’est pas suffisante. Les données sont faibles sur le sujet et les évolutions vont souvent dans un sens néfaste à la qualité urbaine en jouant sur le défensif. Pour aller contre cette tendance, il faut repartir de la question centrale des usages. Elle permet de prendre en compte la place des femmes dans l’espace public, en ayant en tête la diversité des utilisatrices : enfants, adolescentes, actives, personnes âgées… Il devient alors possible de concevoir un espace public bienveillant intégrant une mise en lumière écoféministe, des mobiliers et équipements adaptés, et des professionnels de terrain formés, afin que chacun trouve sa place et puisse s’exprimer librement.

    12h00 — 13h00

    Proton de la Chapelle

    Atelier